🎤 Hanae ELABASSI, Ingénieur Production sur le site de tuiles de Seltz (67) depuis près de trois ans, partage avec nous son expérience réussie de transition vers la mobilité douce.
Il y a environ un an et demi, elle a fait le choix de se tourner vers le train pour ses déplacements domicile-travail. Au départ, c’est une panne de voiture qui l'a contrainte à trouver un autre moyen de transport. Hanae s’est vite rendu compte que le train s’avérait un choix économique judicieux.
 
Finalement, cette nouvelle méthode de transport représente un gain de temps pour Hanae. Elle profite désormais du trajet pour prendre son petit déjeuner et lire, ce qui lui permet de commencer la journée de manière plus détendue.
 
Pour Hanae, l'utilisation du train était une nouveauté à laquelle elle n'avait pas pensé auparavant. Cependant, elle a rapidement adopté cette nouvelle habitude et a constaté qu'elle n'avait plus besoin de sa voiture au quotidien. En outre, cette transition vers la mobilité douce s'inscrit dans une démarche écologique plus large, avec le désir de laisser une planète plus propre aux générations futures.
Pour ceux qui souhaitent suivre son exemple, Hanae partage quelques conseils pratiques :
 
« Organisation et anticipation sont les clés. Avoir des alternatives comme le covoiturage est également recommandé. Par exemple, mon collègue Théo Loehlé, Ingénieur Amélioration Continue à Seltz, partage aussi cette pratique. Nous restons informés des éventuels changements d’horaires des trains et optons pour le covoiturage quand le train n'est pas disponible. Malgré tout je conseille vraiment cette démarche qui m’a apporté beaucoup de bien-être et de satisfaction globale.»

🎤 Bernard PEUCH, Chef de projet à Roumazières (16), partage son expérience de transition vers une mobilité professionnelle plus durable. Avant 2020, ses déplacements inter-usines totalisaient près de 60 000 km par an en voiture. Aujourd'hui, grâce à des initiatives axées sur la visioconférence et l'utilisation du train, il a réussi à réduire ce chiffre de moitié, parcourant désormais moins de 30 000 km par an.
 
Bernard a réussi à reporter une partie de ses déplacements en voiture vers le train, lui permettant ainsi un gain de temps de travail d’environ 400 heures par an.
Bernard souligne également les bénéfices en termes de sécurité physique et de sérénité. Pour lui, cette nouvelle approche de la mobilité professionnelle incarne un engagement citoyen fort et durable.
 
Bernard encourage à planifier et anticiper les déplacements afin de maximiser l'utilisation du train et réduire la dépendance à la voiture. De plus, il s'investit activement pour la réouverture de la ligne Angoulême Limoges, ayant été arrêtée en 2018. Cette démarche vise à renforcer l'attractivité de la région pour les futurs recrutements à Roumazières, tout en ouvrant la voie à une décarbonation du transport des produits fabriqués sur place.

🎤  Pauline TOMMASI, membre de l'équipe du contrôle de gestion industriel à Suresnes (92) depuis deux ans, est une fervente adepte de la mobilité douce. Elle a toujours privilégié le vélo pour se rendre au travail. Une escapade de 20 minutes pour son trajet aller qu’elle réitère pour le retour.
 
Au départ, Pauline a choisi le vélo pour éviter les transports en commun, mais elle se réjouit maintenant de contribuer à la préservation de l'environnement en utilisant un moyen de transport plus écologique.
 
Pauline met en avant les nombreux avantages de cette pratique, notamment l'opportunité de pratiquer une activité physique quotidienne et de prendre l'air, ce qui est particulièrement bénéfique lorsqu'on mène une vie professionnelle sédentaire.
 
Pauline encourage vivement tous ceux qui le peuvent à adopter cette habitude. Elle suggère de commencer par les jours ensoleillés afin de rendre cette expérience aussi agréable que possible.

🎤 Sylvain HEITZ, Responsable du pôle SAP, à Achenheim (67) se déplace à vélo quotidiennement pour se rendre au bureau. C’est près de 20 km aller-retour que Sylvain parcourt chaque jour.

« Les pistes cyclables tout au long du trajet rendent le voyage agréable, me permettant de démarrer doucement ma journée tout en admirant le paysage. Le vélo est pour moi bien plus qu'un moyen de transport ; c'est un moyen de commencer ma journée en douceur et de décompresser en rentrant chez moi le soir. Il me permet également de rester actif et de profiter du plein air.
 
Pour moi, privilégier la mobilité douce pour les petits déplacements est une façon de contribuer à la préservation de notre environnement. Cela est cohérent avec mes valeurs et riche de sens pour moi, c’est pourquoi je suis particulièrement motivé à continuer dans cette voie.
 
Si je peux donner quelques conseils à ceux qui envisagent de se mettre au vélo, je leur dirais d'abord d'essayer d'en faire un plaisir, de ne pas se forcer et de ne pas le considérer comme une contrainte. Il est également important d'y aller graduellement, en se fixant des petits objectifs et en progressant pas à pas. Enfin, il est primordial de bien choisir son itinéraire en privilégiant les pistes cyclables.
 
Pour conclure, je dirai que choisir le vélo c’est l’adopter, c’est bon pour la santé et pour la planète, je conseille à tous ceux qui le peuvent d’essayer. »

🎤 Catherine CELLIER, Responsable Ressources Humaines du Pôle Briques (Colomiers (31), Lasbordes (11) et La Pera pour l’Espagne) nous partage une bonne pratique collective : le covoiturage. Neuf personnes intervenantes sur les sites de Colomiers et de Lasbordes sont régulièrement amenées à se déplacer entre les 2 usines distantes de 80 km ; pour cela elles ont voulu repenser leur mode de déplacement.
 
Depuis trois ans, Catherine, Estelle, Eric, David, Clara et leurs collègues « Pôle » profitent de la nécessité de se déplacer pour partager les trajets en utilisant les véhicules de service.
 
Le covoiturage s’est rapidement enraciné dans les habitudes, avec au moins six encadrants covoiturant régulièrement sur ces trajets hebdomadaires, parfois même à trois dans un véhicule. Les motivations sont diverses : certains sont guidés par une conscience écologique grandissante, d'autres sont motivés par la convivialité et les échanges liés à ces déplacements. Pour tous, l'utilisation d'un moyen de transport plus respectueux de l'environnement est une source de satisfaction.
 
Cette bonne pratique du covoiturage s’est étendue aux salariés qui doivent rejoindre un autre site d’Occitanie dans le cadre des journées de formation professionnelle mutualisées entre plusieurs établissements. Un geste fort en faveur de l'environnement et du bien-être au travail.

🎤  Michel PRUDNET, magasinier sur le site de tuiles de Lantenne-Vertière (25), a rejoint l'entreprise en 1986. Depuis, il a toujours privilégié le vélo comme moyen de transport pour se rendre au travail.
 
Pour Michel, résidant à proximité du site, l'utilisation de sa voiture pour un trajet aussi court ne lui semble pas nécessaire. Il souligne également que son véhicule, étant un diesel, met du temps à chauffer et pollue, ce qui rend l'utilisation du vélo encore plus avantageuse. De plus, il trouve que le vélo est plus facile à utiliser et constitue un gain de temps appréciable.
 
En optant pour le vélo, Michel se réjouit de contribuer à réduire son empreinte carbone. Peu importe les conditions météorologiques, il continue à se rendre au travail à vélo, soulignant ainsi son engagement en faveur de la mobilité douce.
 
Outre son impact environnemental positif, Michel apprécie les bienfaits sur sa santé que lui procure le fait de faire du vélo quotidiennement. Cela lui permet de rester en forme et de profiter d'une bouffée d'oxygène chaque jour.